
…On « tire » sur l’Ukraine …et on « tiens en joue » la France !!!
La guerre de la photographie et de la propagande !!!
Si le « tour » en Ukraine ne marche pas, le Nouvel Ordre n’a plus d’espoir…
…Le gang de Biden, Merkel, Poutine et Johnson aura la fin qu’il mérite.
Lorsqu’un prédateur poursuit une bête dans le désert sombre, sa tactique dépend directement de ses connaissances et des besoins de la bête elle-même. Si on connaît, par exemple, que dans la zone où on chasse il n’y a pas d’eau disponible autre que celle d’une source — dans la seule oasis qui existe — et en même temps la bête a une faible résistance à la soif, on élabore un plan d’action adapté aux conditions spécifiques de la situation… On tend une « embuscade » et on attend là où on sait qu’elle doit passer. Quoi qu’elle fasse pour nous entraîner dans sa poursuite et nous éloigner de l’oasis, on doit simplement l’ignorer… On ne la suit pas en entendant ses cris et on ne cherche pas son nid… C’est elle qui va venir vers nous et pas l’inverse… On sais où ses besoins brûlants la conduisent et là on l’attends avec le doigt sur la gâchette.
Toutes ces affaires, cependant, sont des gains stratégiques, qui, aussi importants soient-ils, ne cessent pas d’être auxiliaires… Ce sont des gains qui peuvent nous « entraîner » loin des besoins réels du Nouvel Ordre… Nous « entraîner » à sa « chasse », mais loin de là où sont ses vrais besoins. Il est peut-être important de résoudre ces problèmes pour le Nouvel Ordre, mais ce n’est pas ce qui l’intéresse vraiment… Il est utile de les résoudre, mais pas nécessaire à sa survie finale. Les vrais problèmes du Nouvel Ordre — qui ont à voir avec sa survie même — sont différents, et malheureusement ils ne sont pas résolus par les fameuses « démonstrations » militaires… Ils ne sont pas résolus par des missiles ou des chars. Les résoudre peut nécessiter l’utilisation de missiles ou de chars, mais ceux qui sont conquis avec des armes ne sont pas la solution à ses problèmes.
Qu’est-ce que cela signifie dans la pratique ? Que le Nouvel Ordre ne résoudra pas ses problèmes si l’Ukraine rejoint l’OTAN. Cependant, la demande d’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN donne au Nouvel Ordre l’opportunité de lancer une solution à ses problèmes. En d’autres termes, l’action de l’Ukraine n’apporte pas de solution au Nouvel Ordre, mais les effets secondaires de la réaction russe donnent au Nouvel Ordre l’occasion de résoudre ses problèmes… L’orientation de « l’ours russe » vers l’Europe peut être le but de l’action provocatrice de l’Ukraine. L’apparition d’une Russie redoutable et guerrière devant la « porte » de l’Europe peut être le but de cette guerre. Pourquoi cela se produit-il ? Car le vrai problème du Nouvel Ordre n’est pas géostratégique ; son problème est financier !!! Il faut trouver comment et pour quelle raison une Russie « blindée » et agressive est utile au Nouvel Ordre sur ce paramètre.
Nous reprendrons les choses depuis le début pour comprendre ce qui se passe vraiment. À l’heure actuelle, la conception globale du Nouvel Ordre est menacée d’effondrement… Le Nouvel Ordre est littéralement « assis » sur une bombe à retardement de dette… Ce que nous voyons aujourd’hui — et qui « imprime » sur lui le succès mondial des « élites » du Nouvel Ordre — est théorique… Ils sont milliardaires parce que la « bulle » continue d’exister, parce que la « bulle » garde son « volume » et sa « hauteur ». C’est-à-dire que la différence des milliards qui sépare quelqu’un de super-réussi — comme Buffett — de quelqu’un de très réussi — comme Abramovich — et la « distance » qui les sépare du commun des mortels « losers » de la base sont les « étages » d’un gratte-ciel mondial où tout le monde est à l’intérieur. Pourtant, ce « gratte-ciel » procure aux occupants de ses « penthouses » leurs plaisirs tant qu’il existe… Tant qu’il reste à sa « hauteur » monstrueuse et ne s’effondre pas.
Ce « gratte-ciel » est « fondé » sur la société et son économie… Il existe tant qu’il y a une fonction économique qui maintient la dynamique de la société dans cet état qui accepte et tolère cette « construction ». Un effondrement économique des bourses internationales conjugué au chômage et à une inflation préexistante aura pour ce « gratte-ciel » les effets de la « fluidisation » brutale du sol sous un gratte-ciel… Il « annulera » sa fondation… Il l’aplatira… Il fera tomber les « winners » au fond, là où se trouvent tous les autres. C’est-à-dire que tous ceux qui apparaissent aujourd’hui comme des « investisseurs » à succès ne le sont qu’à la condition que la « bulle » – « gratte-ciel » n’éclate pas… Tant qu’ils sont « plus haut » que les autres. Si cette « bulle » éclate, elle entraînera au fond ceux qui sont sure celle-ci.
Mais qu’est-ce que c’est que cette « bulle » ? Pourquoi existe-t-elle et comment est-elle devenu mondiale ? Il s’agit de la « bulle » des dettes publiques, qui, par un processus basé sur la corruption des dirigeants politiques, est devenue colossale. Ces dettes sont, dans leur totalité, fictives… Ce sont les dettes du tube à essais d’une fausse économie… Une économie d’économistes et de chiffres… Une économie d’ordinateurs qui créent de la « croissance » à travers des modèles mathématiques arbitraires et non à cause d’une véritable opération économique et des besoins sociaux généraux… Ce sont des chiffres qui sont constamment « nourris » de nouveaux chiffres et qui ne sont pas liés à l’économie réelle…
…Il s’agit d’un « jeu » qui se joue dans certains bureaux et loin du marché et de l’économie réels. Certains inventent sans cesse de nouveaux « produits » bancaires qui « couvrent » les pertes ou défaillances des « produits » précédents. Avec de nouveaux prêts ils donnent la possibilité à quelqu’un qui ne peut pas rembourser ses anciens prêts de le faire… Les nouveaux prêts sont appelés « produits bancaires » et ils les revendent à des emprunteurs faibles. Afin que le problème précédent « n’éclate » pas, ils « vendent » sa nouvelle solution jusqu’à ce qu’elle apparaisse à son tour comme le nouveau « problème » qui sera résolu avec un « produit bancaire » encore plus récent, qui sera, une fois de plus, un prêt. On commence par l’argent, qui suffit à acheter un appartement et, parce que l’argent ne peut pas être remboursé, on invente de nouveaux « produits » qui augmentent le montant initial tout en « déplaçant » la ligne rouge de la cessation des paiements vers l’avenir lointain.
Je peux voir, par exemple, que — en tant qu’état, en tant que banque ou en tant qu’industrie — on ne peut pas me rembourser mon prêt de 200 millions et j’accorde un nouveau prêt de 300 millions pour « réussir » à récupérer le montant initial et ajuster les nouvelles mensualités. On rembourse le premier prêt — et on conserve donc l’AAA de las cote de crédit et de fiabilité avec de fausses informations — et en même temps on a déjà de l’argent pour payer les nouvelles mensualités pendant un certain temps. Tout le monde est « heureux » — et surtout les usuriers — et aucune « alarme » ne se déclenche. Mais la dette s’élève à 500 millions. Avec « l’aide » d’usuriers, quelqu’un qui ne pouvait assurer le service d’un prêt de 200 millions s’est retrouvé débiteur de 500 millions.
Il n’est pas nécessaire de visiter les « républiques bananières » d’Afrique et d’Amérique latine pour voir comment fonctionne « l’habitat » du Fonds Monétaire International… C’est-à-dire les « républiques bananières » du soi-disant « tiers monde » où les régimes corrompus empruntent pour enrichir leurs dirigeants puis appellent le « Fonds » pour « liquider » les biens de l’État et s’emparer de ce qui « leur est dû ». Le Nouvel Ordre a réussi et appliqué cette pratique prédatrice également dans les états du « premier monde »… Dans les états – « vitrines » de l’économie mondiale… Même dans le soi-disant « meilleur » état du monde. Obama, par exemple, a pris le contrôle de l’économie américaine alors qu’elle était théoriquement dans un mauvais état avec 6 000 milliards de dollars de dette publique. Aujourd’hui — après juste une période de temps où il a suffit que les cheveux d’Obama blanchissent — les États-Unis ne paient qu’environ 3 000 milliards d’intérêts par an !!!
C’est ce qui s’est passé aux États-Unis, et en théorie, c’est l’arnaque à l’usure la plus « bénigne » au monde, car nous sommes censés parler de l’état qui se trouve à la première position de l’économie mondiale. Le peuple américain a perdu son « fauteuil roulant » — et donc son État — à cause de ses dettes envers les usuriers. Ils n’essayaient même pas de sauver les apparences dans les « républiques bananières »… Là, les peuples eux-mêmes étaient réduits en esclavage à cause des dettes… Il se passait ce qui se passait en Grèce pendant la Révolution en 1821 : les Bavarois et les usuriers juifs « prêtaient » les Grecs sans leur donner de l’argent… Ils gardaient l’argent eux-mêmes afin de rembourser les intérêts futurs dont il était certain qu’il n’y avait aucune chance d’être remboursés. Avec le peu d’argent restant, ils payaient les politiciens corrompus — qui signaient ces prêts — et remettaient le reste de l’argent dans le « moulin » de l’usure mondiale.
Cela a été le cas ces dernières décennies dans l’économie mondial ; plus précisément, à partir de 1989, à partir du moment de « l’attaque » de la FED de Greenspan avec de l’argent «bon marché». À force d’ « effet de levier » constant, de corruption et d’obligations, les dettes mondiales ont atteint des sommets sans précédent pour l’économie mondiale… À des hauteurs telles qu’il faudra tout brader pour rembourser les « dettes » aux « prêteurs » des états… Les « prêteurs », c’est-à-dire les banques internationales qui se sont enrichies de cette politique continue de prêt et qui s’était transformée en une « manie » suicidaire. Les états « s’enfonçaient » dans les « dettes » et certains pensaient qu’en s’arrachant les « cheveux » ils arrêteraient le « naufrage ». À partir de 1989, tous les usuriers du monde se sont littéralement creusés les méninges pour trouver des moyens et des raisons de « donner » de l’argent, en finançant tout.
Ce sont eux qui mettaient de l’argent (qui en réalité n’existait pas) sur le marché, tant qu’ils échappaient au potentiel productif des économies. Ils prêtaient de l’argent « artificiel » simplement parce que leurs propres dirigeants s’enrichissaient grâce aux commissions de chaque nouveau prêt… Ils ont « assoupli » toutes les garanties d’emprunt et — en distribuant de manière corrompue des « actions » à des politiciens criminels — les « dettes » ont atteint un niveau extrêmement élevé… Des « dettes » qui ne décrivent pas des sommes « consommées » par les peuples… Des « dettes » qui décrivent le financement continu de sommes qui depuis le début ne pouvaient pas être remboursées, et ce à leur connaissance… Des « dettes » qui étaient présentées comme de nouveaux « produits » financiers, qui embellissaient sans cesse la solvabilité des emprunteurs et permettaient ainsi la vente de financements encore plus importants.
Nous Grecs avons vu l’application absolue de cette tactique avec les fameux swaps de Simitis… Ils « rachetaient » avec de fausses informations la « croissance » qui nous a ensuite conduite — à travers l’Euro — aux Mémorandums et à la destruction… Ils finançaient le marché avec des prêts à la consommation afin que celui-ci entretienne en permanence une image de « développement au galop » et donc d’une capacité d’emprunt encore plus grande. Ils rachetaient du temps avec de l’argent obligataire qui n’était pas enregistré comme un prêt — pour que les « alarmes » ne se déclenchent pas — et ceci apparaissait comme un « investissement » de tiers dans le « succès » futur de la Grèce… En d’autres termes, ils « investissaient » dans le succès qui — le cas échéant — leur rapporterait d’énormes profits.
C’est ainsi que nous avons atteint l’année tragique de 2008 pour l’histoire de la Grèce. C’était les limites de cette tactique usuraire. Soudainement, le « rêve » d’une Grèce puissante s’est évanoui. La « poussière d’or » des obligations a disparu et la réalité tragique a été vue sous la « fine » couche d’un revêtement brillant. Une Grèce endettée envers les usuriers et dont les chiffres financiers ne permettaient pas le service de sa prétendue dette est apparue. Pourquoi dit-on « prétendue » ? Pourquoi utilisons-nous des guillemets dans les termes « dettes » et « prêteurs » ? Parce qu’en fait la Grèce n’avait pas de dettes… Parce qu’elle n’avait-elle pas d’emprunts… La Grèce n’avait pas de créanciers… La Grèce avait des financiers… La Grèce avait sur elle des « investissements » d’usuriers, qui auraient « cru » à son développement et la finançaient.
Voila ce qu’étaient les obligations… Et la plus grande « dette » de la Grèce était les obligations. Pour cette raison, chaque fois qu’ils émettaient une nouvelle obligation, ils nous annonçaient avec joie que… le « marché » avait « confiance » dans les perspectives de la Grèce… Quand on contracte un simple prêt, on n’est pas si content… Cette action provoque plutôt du chagrin et de l’anxiété car elle implique le risque de l’hypothèque. La notion de la confiance est liée à la notion du financement. Confiance signifie responsabilité — et donc risque — d’être tenu responsable de la capacité de quelqu’un d’autre à faire face aux obligations de cette confiance. En d’autres termes, les obligations sont le financement de ceux qui ont confiance en celui qui finance… Telles étaient les obligations de la Grèce. Qu’est-ce que cela signifie ? Que la Grèce pourrait — du coup — « éteindre » ses « moteurs » et annoncer aux « investisseurs » son échec : « Malheureusement, messieurs, nous avons tous échoué !!! Votre financement a été gaspillé !!! Les choses ne se sont pas déroulées comme nous l’espérions et malheureusement l’argent a été perdu.… Nous vous remercions de votre coopération et nous sommes désolés de notre incapacité à atteindre nos objectifs communs !!! »
Toutes les fraudes sont basées sur la corruption des hommes politiques. Lorsque ce flot « obligataire » d’argent « gratuit » de « confiance » atteint une limite — que l’usure connaît — alors le compte à rebours commence pour les « ivrognes »… C’est à ce moment-là que tout ce qui est « gratuit » devient coté… C’est à ce moment-là que ce montant est converti en dette. Comment cela se fait-il ? Les usuriers forcent leur victime à emprunter comme d’habitude — et donc avec des hypothèques — la somme qu’elle est censée avoir reçue de ses financiers. Mais ceci est « suicidaire » pour quiconque l’essaye. Une trahison est nécessaire pour transformer une obligation financière en prêt hypothécaire. Pourquoi ? Parce que cette transformation est un « suicide » qui peut être évité… Un « suicide » que les Islandais ont évité sans conséquence et que la Grèce a subi avec des conséquences tragiques.
De quel genre de problèmes s’agit-il ? De nature procédurale, mais d’une importance essentielle. Vu que l’usure est illégale, les usuriers suivent toujours un processus de remboursement illégal… Personne ne va au tribunal pour faire exécuter un remboursement de manière violente car il n’y a pas de prêt ; il y a un financement gratuit, il y a un « partenariat » informel entre le financier et le financé où chaque partie apporte ce qui correspond à ce « consortium ». Théoriquement, ils visent un succès commun qui sera « partagé » à ses bénéficiaires quand et si celui-ci est atteint… C’est-à-dire qu’il y a un risque, et le plus grand risque est — en théorie — celui du financier. Cependant, lorsque le financier est un usurier, il n’accepte pas ce risque et tente de le contourner par des moyens illégaux. Qu’est-ce que cela signifie en pratique ? Que l’usurier devra obtenir l’accord de sa victime afin de se dégager du risque et de récupérer son argent ainsi que le profit qu’il calculait. La victime elle-même doit accepter de prendre en charge TOUTES les pertes en souscrivant un prêt hypothécaire régulier afin de rembourser son financier. C’est-à-dire que le financier profitera même au cas d’un échec commun. C’est là que réside la particularité de cette situation : la victime elle-même doit « sauver » le financier avec sa signature ; elle doit « se suicider ». Quand est-il possible pour quelqu’un de « se suicider » ? Lorsqu’il est menacé de mort réelle… Lorsqu’il est menacé de violence… Lorsqu’il est intimidé par son financier qui était jusqu’alors « généreux ».
Cela veut dire que la limite de l’usure « apparaît » lorsque l’usurier nous oblige à nous rendre à la banque pour contracter un prêt avec hypothèque sur notre fortune afin de le rembourser… Lorsqu’il nous traîne jusqu’au comptoir des banquiers… Lorsqu’il nous oblige à contracter des prêts énormes pour rembourser nos financiers… Des prêts énormes que, dans des circonstances normales, on ne prendrait JAMAIS, car sinon on serait ruiné. Les Mémorandums sont exactement pour les États victimes de l’usure ce qu’est ce « martyre » pour les individus victimes de l’usure. Ce « martyre » dans les deux cas se fait avec la menace d’un « revolver » et la victime se rend directement là où elle sera « égorgée »… Là où par peur elle-même signera qu’elle accepte son « erreur » et donc son pillage. C’est-à-dire que l’usure et les pots-de-vin vont ensemble. L’un sans l’autre n’existe pas. On ne peut pas travailler comme usurier sans avoir quelqu’un pour casser des « jambes », de même qu’on ne peut pas avoir un métier qui consiste à casser les extrémités du corps humains sans qu’un usurier paye pour ce « service »… Des choses simples, tirées de la vie des usuriers sionistes, tirées des bouis-bouis et des bordels. Si le lecteur comprend ce que nous avons décrit jusqu’ici, il peut maintenant entrer dans la démarche de notre analyse de la guerre en Ukraine.
Ainsi, le problème du Nouvel Ordre est un problème « économique » ; il ne s’agit pas du tout d’un problème « militaire » visant à renforcer l’alliance de l’OTAN en ajoutant l’Ukraine à ses rangs. Le problème du Nouvel Ordre est qu’il doit trouver un moyen pour que la « bulle » mondiale de dizaines de trillions soit « remplie » afin qu’elle n’éclate pas !!! Mais comment sera-t-elle remplie ? Comment une guerre comme celle en Ukraine peut-elle répondre à un tel besoin ? Nous devons encore une fois penser à notre exemple. Comment l’usurier récupérera-t-il son argent censé avoir été dépensé ? De la manière connue : il réclamera la fortune de son client. S’il s’empare de cette fortune, il est « sauvé ». Il ruinera client pour toujours afin de se sauver lui-même. De cette façon, son argent donne de bons résultats en se transformant en des maisons et en champs qui ne seraient jamais vendus et qui ont une valeur unique. Tout cela nécessite cependant la « signature » de la victime. Mais tant que l’usurier n’a pas cette « signature », il peut accumuler une dette importante et être lui-même ruiné.
C’était exactement leur problème : leur planification — à cause de Trump — s’était dangereusement « enlisée ». Ils n’avaient pas leur propre président pour pointer son arme et menacer la « victime ». Le « projet » de l’Ukraine a été retardé à cause de Trump… Cela c’est produit avec quelques années de retard et c’est mauvais pour leur planification… Une planification qui — en tant que « spectacle » théâtral visant à intimider — dépend beaucoup du bon moment. Pourquoi ? Car, si leur objectif est que TOUS les états passent par leurs Mémorandums, ils devaient le faire plus tôt, quand les Mémorandums — selon le « scénario » grec — devaient « sauver » les peuples et l’économie mondiale… Ils n’ont pas voulu montrer ce qui est déjà visible pour tout le monde : que quelques années après les Mémorandums, il s’est avéré que ceux-ci n’ont aucun effet et qu’en fait ils ruinent les peuples et n’enrichissent que les usuriers. Cependant, ce retard — à cause de Trump — de « privatisation » des états les rapprochait du « krach » mondial ; et cela était définitivement à leur détriment.
C’est la raison pour laquelle les usuriers n’ont pas hésité à prendre le risque d’enfreindre la loi et de faire en fait un coup d’État afin de placer le vieux Biden à la Maison Blanche. Sans lui, ils étaient « finis »… Ils avaient été « sauvés » une fois par le « démocrate » Obama et ils ne pouvaient plus réclamer un nouveau « sauvetage » par Trump. Un homme du marché — comme Trump — n’oserait pas faire une telle intervention. De telles interventions ne sont faites que par des politiciens professionnels et des conspirateurs… Des politiciens professionnels et des sionistes fanatiques, comme Biden… Des politiciens criminels, qui ont participé à de nombreux crimes contre l’humanité, comme Biden… Et c’est-ce qui s’est passé. Par la force et la fraude, ils ont remplacé Trump par l’utile « démocrate » Biden.
La première chose que Biden a faite a été de « sauver » les usuriers du « krach » en cours. Qu’a-t-il fait ? Il a transféré les pertes — qui « semblaient » retomber sur les « investisseurs » et les « milliardaires » du Nouvel Ordre — au peuple américain. En fait, il a « acheté » un « krach » en cours avec l’argent de l’État. Il l’a « arrêté » avec beaucoup d’argent de l’État et cela leur a donné l’occasion de se regrouper aux dépens de tous les autres investisseurs — avec l’argent bien sûr du peuple américain… Avec une seule signature, il a donné aux usuriers un montant égal au total de la dette extérieure des États-Unis de l’ère Obama. Le plus grand braquage de TOUS les siècles… Il a donné cinq mille milliards de la part de l’État à des banquiers sionistes privés pour qu’ils sauvent — sans aucun contrôle gouvernemental — eux-mêmes et leur élite sioniste. Personne ne sait combien de billions de dollars supplémentaires des fonds d’assurance ont été secrètement « transférés » pour soutenir cette situation … Des billions qui se sont finalement retrouvés dans les « poches » des « investisseurs » sionistes, qui se sont « échappés » de la « tour en flammes » qu’est la bourse.
Les malins ont transféré les « pertes » de la première « déflation » de la « bulle » mondiale au peuple américain — qui est désormais pauvre. Mais cette intervention à la soviétique dans les finances publiques afin de sauver le « régime » des usuriers-banquiers-investisseurs ne pouvait pas ne pas provoquer une réaction mondiale. Logique. Lorsqu’une politique mine la force du dollar — qui a été imposé par la politique américaine en tant que devise de réserve mondiale — il est clair que toute politique qui le concerne ne se limite pas aux États-Unis. Elle menace TOUT LE MONDE impliqué dans les transactions en dollars et donc l’ensemble de la classe dirigeante mondiale — indépendamment de la religion, de la croyance ou de la race. Alors que fallait-il faire ? Il fallait provoquer une « confusion » d’ampleur similaire et donc un phénomène mondial.
Comme il s’est avéré par la suite, il s’agissait d’une « pandémie » à laquelle ils ne pensaient pas comme une solution de dernière minute… Elle faisait partie de leurs plans pendant de nombreuses années. Les « élites » du Nouvel Ordre Nouveau avaient évoqué à de nombreuses reprises leur « peur » pour notre « santé ». Il s’agissait de leur « parachute » de secours quand les autres seraient « renversés » par le « krach » d’une « bulle » gigantesque. Le fait est que la « pandémie » était un plan-b qu’ils ne voulaient pas utiliser inopinément ou vendre « à bas prix ». Mais le retard de Trump les a forcés à le faire. En d’autres termes, si tout s’était « bien » passé avec Hillary Clinton, la guerre en Ukraine aurait eu lieu avant la « pandémie ».
Si Clinton avait été présidente, nous n’aurions pas vu la « pandémie », mais les « effets secondaires » de la guerre en Ukraine auraient commencé. Zelensky avait déjà été nommé président de l’Ukraine ; ils avaient donc déjà le « protagoniste » de leur « show ». La pression mandatée par les sionistes sur l’Ukraine pour qu’elle rejoigne l’OTAN aurait eu lieu il y a trois ans, pas maintenant. La « pandémie » a « retardé » Zelensky à exprimer le « besoin » de l’Ukraine pour son adhésion a l’OTAN. C’est pourquoi Biden a eu beaucoup à voir avec l’Ukraine en tant que vice-président des États-Unis… C’est lui qui a dirigé le Juif Zelensky sous la supervision de Clinton, Albright et bien sûr Kissinger. Mais, une fois qu’ils étaient en retard avec le mandat de Trump, ils ont été forcés de suivre le plan-b. À partir du moment où ils frôlaient la catastrophe boursière, ils ont dû intervenir d’abord dans l’économie et ensuite effacer leurs « traces » avec une panique mondiale. La « pandémie » a bloqué les développements et a fait « disparaître » l’intervention de Biden de l’ « actualité ».
La suite est plus ou moins connue à tout le monde. Ils ont donné l’ordre à tous les gouvernements de prendre des mesures de « soutien » social caractère « démocratique soviétique » et c’est là où leurs « traces » se sont perdues. En d’autres termes, les mesures de soutien social abondant et « généreux » ont été prises de manière obligatoire même par les états qui étaient sous un régime de Mémorandums afin de « détourner » l’attention de la politique sans précédent de Biden de la « métropole » du capitalisme. TOUT LE MONDE a suivi à peu près les mêmes politiques, sans être les mêmes. Tout le monde a suivi le « mode soviétique » de restriction des droits individuels et d’interdictions afin d’éviter les « chocs » de l’économie mondiale en raison de la mise en œuvre de nombreuses politiques différentes pour y faire face. D’après ce qu’on a vu, ils étaient tout à fait prêts à mettre en œuvre cette politique. Ils avaient tous les scénarios et arguments de la « terreur » sanitaire mondiale prêts… Ils avaient à la fois le virus et son « vaccin » prêts et à leur disposition. Avec cette « pandémie », ils ont « brouillé » les pistes et personne n’a compris ce qui se passait.
Ils avaient besoin d’une telle « confusion », car sinon ils auraient à répondre du grand crime de pillage du peuple américain — pour la deuxième fois en une décennie… Les Américains ont perdu 2 000 milliards de dollars de la part du démocrate Obama et 5 000 milliards de dollars supplémentaires de la part du (également) démocrate Biden. En moins de dix ans, les Américains, en tant que peuple, ont perdu plus d’argent que toutes les dettes américaines depuis l’époque de leur Libération jusqu’à l’ère Obama : le « Krach de 1929 », la « Seconde Guerre mondiale », les « Plans Marshall », les « Les guerres de Corée, du Vietnam, d’Irak, d’Afghanistan, de Yougoslavie », etc., ont moins coûte que ce les usuriers leur ont pris en une décennie… Avec la signature d’un « faux » président, le peuple américain a perdu CINQ MILLE MILLIARDS…
Maintenant que le virus a nivelé le marché mondial, nous avons pris une rue à sens unique… Le « sens unique » de la faillite. Après la « pandémie », les uns après les autres, les états se déclareront prêts à la faillite. Aucun état n’a une dette extérieure gérable. Tout le monde est prêt pour les mémorandums. Nous allons maintenant voir la véritable raison pour laquelle le Nouvel Ordre — à travers les États-Unis et l’Allemagne — a organisé l’invasion de l’Ukraine. Le terrorisme a désormais la parole… La terreur des peuples… Le soutien des gouvernements corrompus qui imposerons à leurs propres états un régime de mémorandums pour les « sauver »… Le « Nouvel Ordre Mondial » imposera des politiques de « sauvetage » économique, comme a été imposé la vaccination obligatoire de « sauvetage »…
Cela est facile en ce qui concerne la gestion de « communication ». Surtout maintenant que l’humanité s’est habituée à la peur, ils vont simplement « offrir » une de plus. La guerre en Ukraine leur convient pour une autre raison. Ils devaient nécessairement faire quelque chose d’aussi impressionnant pour surmonter le choc global de la « pandémie »… Occuper l’humanité avec quelque chose d’autre avant qu’elle ne commence la recherche autour de la « pandémie » et que les questions sans réponse commencent à se poser les unes après les autres… Avant que ne commencent les procès de masse pour les « sauveurs » des sociétés pharmaceutiques, qui, à part leurs portefeuilles, n’ont sauvé personne d’autre… Les fabricants pharmaceutiques sionistes, en parlant de ça…
Les usuriers ont désormais « libéré » le « méchant » au voisinage européen… Le « méchant » qui « casse » les jambes… Le « méchant » qui « éventre ». Pourquoi ? Pour semer la terreur… Pour semer la terreur à ceux qui sont intéressés par les usuriers. C’est la première chose que fait un « maquereau », qui est aussi usurier : il présente d’abord un ennemi… Un ennemi qui menace sa victime… Un ennemi si puissant qu’il peut dépasser de loin ses capacités personnelles de défense. C’est la première chose que fait un usurier. La deuxième chose qu’il fait — s’il se comporte « correctement » — est d’essayer de prouver à sa victime qu’il peut la protéger. Il peut lui prouver qu’il peut le faire. Comment ? En montrant son « arme ». Autrement dit, l’ennemi, de l’extérieur, « secoue » la « porte » qui terrorise la victime et le « maquereau » sort son « arme » pour lui montrer qu’elle n’a rien à craindre ; si, bien sûr, elle se comporte « correctement ».
C’est désormais le jeu joué par les sionistes avec la guerre en Ukraine… Ils présentent la Russie « frappant » aux « portes » de l’Europe et, en même temps, ils assument le rôle de protecteur. Cependant, il n’y a pas de protecteur « désarmé » ; il n’y a pas de maquereau « désarmé ». Ce n’était qu’une question de temps avant qu’ils ne montrent leur « arme ». Sous prétexte d’une Russie agressive, ils présentent une Allemagne armée qui défendra « volontairement » l’Europe… Une Allemagne qui se réarmera à cause de la « dangereuse » Russie de Poutine. Ils font tout cela dans un seul but : tenir à leur merci le membre le plus riche d’Europe… Ils le font pour effrayer la France afin qu’elle ne quitte pas leurs « bras » et afin qu’ils puissent la piller. Si, par peur, ils la piègent dans leurs « bras », ils auront la possibilité de jouer le rôle du « maquereau » à son encontre… De la menacer eux-mêmes si elle ne fait pas ce qu’elle « devrait » faire pour sa propre « sécurité » .
Avec le « revolver » de l’Allemagne, les Français seront menacés pour leur propre « bien » car ils sont soi-disant un peu « naïfs » ou « je m΄en fous » et ils peuvent peut-être « ne pas savoir » ce qui est « bon » pour eux-mêmes ; bien évidemment, les sionistes et les NAZIS « savent » cela… Les patrons de Johnson, qui a « prédit » l’invasion russe de l’Europe. Ainsi, les « maquereaux » feront ce que nous avons susmentionné : ils braqueront leur « arme » sur leur victime pour son propre « bien »… Ce que font habituellement les maquereaux qui vendent « du bon matos ». Celui qui habituellement nous « protège » du « méchant » est armé et il nous menace également si nous ne sommes pas obéissants… Toujours pour notre « bien ». Cette arme, « légale » et sous le prétexte de la protection contre le « mal », vise en fait le « bien ». Si on comprend cela, on comprend aussi leur planification générale… Le « méchant », c’est la Russie… Mais le « revolver » des usuriers, qui menacera la France, c’est l’Allemagne… L’Allemagne armée dans peu de temps !!!
C’était le gros coup… Quiconque prenait leur argent « artificiel » avait pour toujours tombé dans le panneau. C’est le stratagème inventé par Rothschild… Le stratagème qui a fait des sionistes l’objectif principal de devenir les « émetteurs » de la monnaie mondiale… Les peuples — à cause de la corruption et de la trahison de leurs dirigeants — ont permis d’imprimer la valeur totale de leurs patries sur cette monnaie. À partir de ce moment, l’usine de « photocopies » a fonctionné pour tous les états selon la valeur de leur fortune… Chacun a reçu autant de « photocopies » que les usuriers ont considéré comme correspondantes à sa fortune… Un énorme et homicide jeu de Monopoly a été bâti sur le dos des peuples et, comme on le sait, dans ce jeu, le banquier gagne toujours.
Mais comment ce « jeu » de « photocopies » devient-il une réalité qui coûte aux états de réelles pertes de guerre ? Avec le stratagème des Mémorandums. Les Mémorandums sont les « échangeurs » de valeurs… Le « bureau de change » où les financements deviennent des dettes… Où des choses « gratuites » deviennent des choses « très chères ». Ce n’est qu’avec les Mémorandums que les « photocopies » deviennent de l’argent réel. Avec les Mémorandums, les peuples hypothèquent leurs patries afin de rembourser les « financiers » usuriers… Au final, « l’investissement » initial est « scellé ». S’il n’y a pas de Mémorandums, il n’y a rien… Et dans ce cas les usuriers sont fichus. Pour éviter bien sûr cette possibilité, ils sortent leurs « revolvers » et les choses deviennent alors dangereuses pour ceux qui veulent réagir.
Tout ce que nous voyons aujourd’hui ne s’est pas produit en quelques années. Ce plan est « dirigé » par les sionistes depuis près d’un siècle. Un siècle s’est écoulé avant que leur « dollar » ne devienne une monnaie mondiale, leur donnant le monde entier, et place tous les peuples sous un régime de Mémorandums. En 1929, avec le « krach » des États-Unis, les usuriers sionistes avaient pris le contrôle de la FED et acquis leur propre dollar… Mais le dollar qui à l’époque n’était « fort » qu’aux États-Unis. C’est alors qu’ils ont acquis « l’outil » qui pourrait faire de la puissance mondiale des États-Unis leur propre domination économique mondiale. C’est alors qu’ils ont commencé à donner chair et sang au dicton du « patriarche » Rothschild, qui croyait que « celui qui a le pouvoir d’imprimer de l’argent dans un état est celui qui le contrôle, quel que soit son régime en théorie ». C’est alors qu’ils ont littéralement pris dans leurs mains la propriété des États-Unis. Dans le même temps, ils ont « investi » en Europe… Ils ont « conquis » le trône britannique avec l’assassinat d’Edouard V et, le livrant aux usurpateurs, ont réussi à contrôler complètement la Grande-Bretagne… Ils ont financé Hitler pour qu’il fasse la Guerre… Ils ont soutenu les « révolutionnaires » du communisme dans le renversement du Tsar.
Lorsque tout cela — à travers la fumée et le sang de la Seconde Guerre mondiale — a abouti à un règlement définitif, ce sont eux qui sont apparus en Europe pour le reste des « recouvrements ». En tant que prêteurs de « photocopies », ils appliqueraient partout le stratagème de Rothschild. Grâce à leur propre « dollar », ils ont commencé le « financement » et « l’aide » de l’Europe… L’Europe qu’ils entendaient transformer en une colonie de dettes. C’était facile pour eux, puisqu’ils se cachaient derrière la puissance militaire américaine. La Grande-Bretagne de l’usurpateur bègue inutile était complètement neutralisée. En 1945, ils ont acquis la propriété de l’Allemagne elle-même… Ils ont « expulsé » Hitler — qu’ils ont eux-mêmes financé — et ajouté l’Allemagne — dont il avait lui-même transformé en une sorte de pays « bon marché » — à leur portfolio. La même chose s’est produite en Russie en 1990 : ils ont acquis sa propriété. Ils ont « expulsé » Gorbatchev — qu’ils ont eux-mêmes placé à Moscou — et se sont presque emparés des biens de la Russie — dont il avait lui-même arrangé de capituler avec la « pérestroïka » — pour presque rien. En d’autres termes, c’était d’abord les usuriers de New York qui avaient été informés de la « pérestroïka » et ensuite les « pères sages » moscovites.
Donc, si l’on suppose que la France d’aujourd’hui est leur cible, alors ils se heurteront à une forte opposition. Surtout quand ils doivent la mettre dans le « hachoir à viande » des Mémorandums afin de stabiliser durablement le Nouvel Ordre. Mais pourquoi la France est-elle leur cible ? Parce qu’elle a une dette publique prés de 10 000 milliards de dollars, qui, au regard de sa « surface » financière et de son fonctionnement, est ingérable. La situation a donc commencé à « toucher » sa fortune afin que cette dette soit définitivement « réglée ». Avec cette dette, les usuriers chercheront à saisir au moins trois fois ses actifs publics, comme c’est généralement le cas avec l’usure. Ils essaieront de saisir des actifs d’au moins 30 000 milliards, et — sur la base de l’expérience grecque — après dix ans, sa dette sera d’au moins 20 000 milliards… En d’autres mots, ne jamais échapper au « piège » des usuriers… Être « otage » d’eux et « dépendant » de leur emprunt, tel un toxicomane « fini » qui n’a plus rien à perdre et se contente de ramper aux pieds de ceux qui l’ont ruiné.
A l’heure actuelle, la France est le seul « top » pays qui puisse offrir aux usuriers de la « bulle » mondiale la richesse qui leur permettra de « charger » les dégâts de la « bulle » sur l’ensemble de l’humanité pour les collecter eux-mêmes en espèces… C’est cette possibilité que leur donne la formidable France… Le cœur du « Vieux Monde »… Un pays avec un capital d’une valeur incalculable… Le pays le plus touristique du monde… Avec un tel capital qui commence de la capitale la plus touristique du monde, jusqu’à la mythique Côte d’Azur… Le « top » absolu de l’immobilier… Il n’y a rien qui lui appartienne et qui ne soit d’une valeur inestimable. En tant que l’un des pays les plus développés au monde, elle a développé tous ses réseaux d’infrastructures et bien sûr sa production industrielle.
Avec l’argent des peuples ils se sont emparés de leur fortune… Avec l’argent des uns ils se sont emparés des biens des autres et ils ont fait cela avec tous les peuples, qu’ils soient forts ou faibles… Avec la fortune de la France ils boucleront le tout. Désormais, toutes les fortunes des peuples chrétiens sont la propriété des sionistes… Ceux qui jusqu’à présent apparaissaient comme des « investisseurs » et apparaîtront bientôt comme de grands magnats. Les peuples, trahis par leurs dirigeants, ont joué au « Monopoly » contre les banquiers et ils ont — bien sûr — perdu… On ne peut pas les battre, tout comme même le meilleur joueur ne peut pas battre le casino. Tous ces usuriers frauduleux « cachent » maintenant leur argent dans l’immobilier partout dans le monde…
Vu que les Français peuvent percevoir cela et réagir — comme l’ont fait les Islandais, par exemple — les usuriers doivent sortir leur « revolver » de leur étui… Ils doivent pouvoir les menacer de mort s’ils refusent de « signer » leur « suicide ». C’est pourquoi nous avons analysé les tactiques des usuriers. Les usuriers ne sont agréables et serviables que lorsqu’ils veulent nous « offrir » un financement afin de nous « aider ». Quand vient le moment d’encaisser, les choses changent… C’est le moment où ils parlent de dettes… C’est le moment où ils crient d’avoir été « trompés » par des menteurs et des paresseux et cherchent à revendiquer leurs « droits »… C’est le moment où les choses se déchaînent et la menace de violence entre désormais dans la conversation… C’est le moment où le « revolver » est évoqué. Maintenant, les usuriers ont atteint le niveau où il n’est plus dans leur intérêt de « nourrir » la France d’argent et ils doivent changer de tactique… Maintenant, ils ne demandent pas aux Français d’être financés davantage à travers des obligations… Maintenant, ils commencent à « se fâcher » … Maintenant, ils commencent à les accuser d’être des « menteurs » et des « escrocs »… Maintenant, ils leur demandent ce qu’ils ont exactement comme « actifs » à leur donner pour ce qu’ils leur « doivent »… Maintenant, ils les forcent à contracter des prêts gouvernementaux afin de rembourser les obligations portant intérêt des « investisseurs ».
Dans un tel cas on parle de la destruction de la France… On parle de dégâts astronomiques qui « pénétreront » dans la société ; ainsi, les usuriers s’empareront du peuple français tout ce qu’il a : leurs maisons, leurs dépôts bancaires, et même leurs primes d’assurance auprès de leurs caisses d’assurance. Les Français seront appauvris dans quelques mois. Ils ne laisseront rien debout. Tout cela sera de l’argent réel que les usuriers réclameront jusqu’au dernier centime… C’est exactement ce qu’ils ont fait en Grèce.
Dans cette optique, nous voyons la guerre en Ukraine sous un autre perspectif… C’est une guerre très utile pour les usuriers… Elle leur permet de présenter le « méchant » de l’histoire — qui est la Russie — et au en même temps, à cause de cette guerre, ils passent le « revolver » à leur propre « videur » dans l’Union européenne… Le « videur » allemand, qui, pour le « bien » de l’Europe, pointera son « revolver » sur les Français indisciplinés qui refusent de payer leurs « erreurs » et qui risquent, à cause de leur culte de… « loisirs », la « vision » à l’aune européenne.
Pourquoi fait il ça ? D’abord parce que dans ces conditions extrêmes il peut truquer les résultats des élections. Le leader actuel a toujours la tête dans de tels cas ; encore plus Macron, qui est quelqu’un de politiquement inexistant, et qui a investi dans la division des citoyens afin de profiter des réactions à ses contestations. D’ailleurs, dans ces circonstances, ses « patrons » peuvent l’aider avec tous leurs « outils » et surtout avec leurs propres sociétés de sondage… Ces mêmes sociétés qui anticipaient le triomphe de Biden alors qu’il se baladait dans un triste bus aux USA et faisait des discours dans des centres commerciaux vides… Ils veulent suivre le même modèle « Biden » en France… Même s’ils n’obtiennent pas les votes aux élections, ils essaieront de les voler. Pourquoi ? Car ils ont absolument besoin de la trahison de la France et donc de son traître.
La première chose que Biden a faite après son élection — pour « sauver » les États-Unis et « payer » ses propres dettes envers les usuriers — a été de remettre la richesse des américains à ses patrons ; Macron fera la même chose s’il est réélu… Au début de son nouveau mandat il signera directement l’entrée de la France sous un régime de Mémorandums… Avec la protections de ses « maquereau » il signera pour la France ce que Papandréou a signé pour la Grèce. Pour être sûrs qu’ils obtiendront cette signature, sans risquer des « surprises » comme Trump, ils conduisent la France à des élections « sans élections »… Ils attendront de voir la dynamique de Macron jusqu’au premier tour et après — selon la situation — ils décideront s’ils doivent passer au second tour ou accélérer les développements pour que Macron puisse leur servir de président-« général » par intérim…
Ils vont pousser la France dans ses retranchements pour que son président — sans l’assentiment du peuple et avec l’alibi de l’urgence des conditions de guerre qui prévaut — puisse « emprunter » les actifs publics avec une hypothèque afin de rembourser les emprunts obligataires des usuriers… Pour se « débarrasser » d’un « fardeau » qui mine soi-disant le rôle international de la France et la capacité de défense du pays et menace sa survie même… Ce qui la conduit soi-disant à la « catastrophe » dans une situation historique qui ne se prête pas à des « négligences » et des « retards »… La nécessité d’un nouvel prêt gigantesque de la France paraîtra tellement « urgente »… L’employé inutile de Rothschild, celui qui se fait passer pour le Président de la France, paraîtra tellement pressé… Le traître est pressé de rembourser les usuriers et il se fiche des Français qui seront appauvris… Ils seront pauvres, mais vivants !!!
Le lecteur a-t-il maintenant compris pourquoi dès le début du texte on parle de « proie » aux besoins spécifiques et de « prédateur » astucieux ? Peu importe ce que fait le Nouvel Ordre, il ne peut pas nous entraîner dans ses « intrigues » si nous connaissons ses besoins. Peu importe combien il « hurle » en Ukraine, nous connaissons qu’il attend avec impatience la « survie » de la France… Peu importe combien il « hurle » en Ukraine, il veut « dévorer » la France… Il tournera forcément son attention vers la France… Là, il livrera le combat de sa survie, puisque, s’il ne « dévore » pas la France, il ne peut pas être sauvé. Le « spectacle » en Ukraine n’est qu’un « apéritif » pour ce qui va suivre : le « plat principal ». Avec la guerre en Ukraine, ils essaient de mettre la France dans une « machine de pressage », qui consiste d’une part de la menace de la Russie et d’autre part du « revolver » de l’Allemagne… La source, depuis laquelle la bête assoiffée va étancher sa soif et où un « prédateur » expérimenté lui a tendu une embuscade, se trouve en France… La bête va poser son viseur et « viser » la source !!!
Ceux qui étaient à la fois les employeurs d’Hitler et de Staline sont aujourd’hui les employeurs de Merkel et de Poutine. Maintenant, ils donnent la victoire à « Hitler » et la domination à son Allemagne… À sa propre Allemagne, qui, avant lui et le financement sioniste, N’EXISTAIT JAMAIS… Il n’y avait pas « d’Allemagne » avant Hitler !!! Le quatrième Reich allemand s’appelle désormais l’ « Union européenne » et, même dans la partie formelle, il a l’allemande von der Layen comme leader. Le « général » de ce Reich est — le « Quisling » norvégien — le leader de l’OTAN Jens Stoltenberg. Le nouveau rôle mondial de la Russie suffit au nouveau « Staline »… La riche Russie des pauvres — à cause de lui — Russes. Même le Brexit a servi ce plan… Laisser l’Allemagne tranquille aux commandes de l’Europe… LA TROISIÈME GUERRE MONDIALE est maintenant terminée.
Ce CHOC était si grand pour les Grecs que, désormais, quelle que soit la catastrophe qui se produise, les responsables ne seront jamais sévèrement jugés… La « barre » de l’impunité pour négligence criminelle a été délibérément tellement relevée que quoi qu’il advienne à l’avenir il restera impuni. La moitié de la Grèce a été incendiée cet été et nos dirigeants complètement défaillants non seulement ne se sont pas inquiétés des conséquences criminelles de leurs actions misérables, mais, au contraire, ils ont célébré parce qu’ils n’y a pas eu des morts, comme lors du mandat du gouvernement précédent. Tout cela n’est pas accidentel… C’est une tactique bien connue de gestion de situations extrêmes… C’était la politique des Vietcongs… Quand leurs prisonniers réagissaient lorsqu’ils les mettaient dans des cages individuelles, ils faisaient ce qui suit : Ils mettaient cinq personnes dans une cage individuelles et lorsqu’ils faisaient sortir les quatre après un « séjour » inhumain et terrible, celui qui restait finalement seul dans la cage avait l’impression de vivre dans un « penthouse ».
Quelque chose de similaire se passe avec les deux guerres mondiales. Le sang de la « fondation » était tel que « l’achèvement » est considéré comme se passant sans réactions. L’impunité de la « fondation » absolument violente et du « moulage » qui s’en est suivi soulage les angoisses des « bâtisseurs » actuels du Nouvel Ordre. Le monstrueux massacre de la Seconde Guerre mondiale laisse de la place à ceux qui planifient maintenant la Troisième Guerre mondiale de croire qu’ils ne sont pas en danger… De penser que les peuples ne réagiront pas à leurs plans. Ce sera quelque chose comme les prisonniers des Vietcongs… Ils fêteront d’avoir goûté à la misère de Merkel et de ne pas avoir connu le maléfice d’un nouvel Hitler. Cela a été servi par l’objectif colossal — et sans but — de la politique meurtrière d’Hitler… Ils voulaient exploiter les résultats de sa politique meurtrière et pour cette raison ils l’ont financé. Ce que nous voyons aujourd’hui — et qui catalyse nos vies en tant que citoyens européens — est le résultat de la politique d’Hitler…
C’est ce que nous voyons aujourd’hui « se dresser » devant nos yeux et menacer à nouveau l’humanité… Le même jeu truqué des « maquereaux » de l’Occident avec le « voyou » communiste de Moscou afin de contrôler l’Europe et ses peuples à travers la terreur. Même les colons, qui étaient envisagés dans la planification nazie pour contrôler les peuples d’Europe dans leurs patries conquises, viennent par millions d’où ils ont été « produits » par les NAZIS à travers les guerres régionales. Simplement, maintenant ils ne sont pas imposés avec les armes de la Wehrmacht, mais avec les subventions des ONG. Ils ne viennent pas comme des colons provocateurs, mais comme d’humbles « réfugiés ». Mais le résultat pour les patrons est le même… D’immenses groupes de population au sein de chaque état amis d’eux et hostiles aux populations locales… C’est la définition de la « colonisation », peu importe comment chacun l’appelle.
C’était la planification de la conquête de l’Europe qui a été fondé et servi par Hitler et c’est ce qui se répète aujourd’hui… La planification des soi-disant opposants idéologiques ou nationaux qui sont des partenaires secrets les uns avec les autres. Cela se passait avec Hitler et Staline et se répète aujourd’hui avec Poutine et Merkel de la Stasi. C’est ce que nous voyons évoluer sous nos yeux… En ce moment, l’Allemagne envoie 500 missiles anti-aériens comme « cadeau » à l’Ukraine pour vaincre la Russie, mais comme par magie, les Allemands s’échauffent sans entrave avec du gaz russe bon marché… Le gaz qui coûte le moins cher en Europe… Même par rapport à ceux qui ont une « affinité » pour la Russie.
L’Espagne ou l’Italie catholique deviendront des fédérations européennes à l’image et selon la ressemblance de la Bavière catholique, et le Danemark protestant ou la Suède deviendront des fédérations européennes à l’image de la Prusse protestante. Parmi ces pays religieux « incolores », il y aura aussi « de la place » pour la Grèce orthodoxe, la Bulgarie, etc. Tout cela s’est fait sur le « moule » allemand d’Hitler… Sur le « moule » de sa propre Allemagne… Sur ce « moule » renforcé par l’immigration. Ils ont autrefois transporté — par « remords » des millions d’immigrants européens en Allemagne pour oppresser les Bavarois et les Prussiens, et, aujourd’hui, ils font de même avec les réfugiés par « sensibilité » pour oppresser les nations d’Europe. Tout se fait sur les « fondements » de la Seconde Guerre mondiale… Donc tout est « revenu » en 1942… Quand l’Allemagne hitlérienne attaqua l’Europe voulant en faire d’elle l’ « Allemagne ». Elle franchit désormais sa dernière « étape »… Celle d’un « voyage » qui a commencé lorsque les NAZIS ont incendié le Reichstag.
Tout est fait avec une attention absolue aux détails. C’est pourquoi ils ont même joué avec les visages des protagonistes… Ils ont retiré le nouvel Hitler et renforcé le nouveau Staline… Ils ont retiré la provocatrice Merkel — qui, dans le rôle d’Hitler, a « ravager » les peuples d’Europe — pour qu’elle ne provoque et ne divise pas les Européens par sa présence. Ils font exactement le contraire en Russie… Ils titularisent Poutine de manière inconstitutionnelle et renforcent son image fasciste, car cela aide leur planification… Est-il utile pour leur planification que les Européens voient un fasciste russe qui — par folie — peut appuyer sur les « boutons » qu’il ne faut pas appuyer ? Si l’Europe — et surtout la France — réagit, ils interviendront à nouveau en tant que « pacificateurs concernés » pour l’Europe et ses peuples.
La beauté de l’affaire c’est que le risque que les « new age » ont pris dans la guerre d’Ukraine assure leur condamnation en cas d’échec. Autrement dit, s’ils échouent en France, ils se retrouveront sous le coup d’accusations similaires à celles portées contre les nazis. Leur implication met de côté la conspiration non sanglante des Mémorandums. Dans un tel cas, les « tueurs » financiers ne deviendront pas simplement pauvres… Ils risqueront de perdre leurs vies en tant que véritables tueurs, puisqu’ils ont déjà été impliqués dans des crimes contre l’humanité. Tout cela ne sera pas encore une « escroquerie », comme ce fut le cas avec les Mémorandums grecs, par exemple… Ce sera un complot criminel, pour le lancement duquel des milliers de personnes ont été tuées… Ils seront accusés d’avoir provoqué la Troisième Guerre mondiale et la destruction d’états et de peuples entiers… D’états tels que les États-Unis, la Russie, la France, l’Ukraine, etc…
La déclaration de Zelensky suffit à elle seule à le mettre sur le banc d’un tribunal international. Depuis quand savait-il qu’il était « vrai » que les Ukrainiens ne pouvaient pas rejoindre l’OTAN ? Existe-t-il un accord secret entre l’OTAN et la Russie et est-ce la Russie qui a « convaincu » Zelensky que l’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN n’est pas possible ? S’il le savait, pourquoi a-t-il mis l’Ukraine et son peuple dans la « gueule » de « l’ours » russe ? D’après son discours, la réaction de cet « ours » est justifiée… La réaction « défensive », basée sur les propos du Premier ministre ukrainien. Donc, Zelensky savait. C’est là que commence l’aventure de ses complices… Qui d’autre savait que l’adhésion de l’Ukraine dans l’OTAN n’était pas possible ? Les dirigeants politiques russes le savaient-ils ? Les dirigeants politiques allemands le savaient-ils ? Les dirigeants politiques américains le savaient-ils ? Les dirigeants politiques britanniques le savaient-ils ?
Alors ? Alors, puisqu’un crime contre l’humanité injuste et inutile est actuellement commis en Ukraine, ceux qui l’ont causé ne devraient-ils pas être condamnés comme des criminels de même niveau ? Ces dirigeants dont nous parlons n’ont-ils pas joué un rôle prépondérant dans la guerre d’Ukraine, que Zelensky a qualifiée de guerre sans but stratégique, puisqu’il existe des « accords » qui ne le permettent pas ? Zelensky a-t-il commencé ce crime tout seul ? Il est trop « petit » pour le commencer. Alors ? Alors, ses complices sont ceux qui lui ont ordonné de le faire. Alors? Alors, qui lui a ordonné de le faire ? Qui a décidé de verser le sang du peuple ukrainien pour tirer un profit ? Biden ? Seul ou avec le consentement de Merkel et Johnson ? Quel rôle le secrétaire général de l’OTAN a-t-il joué ? Qu’avaient-ils tous convenu avec Poutine pour lancer ce « théâtre » meurtrier ?
Ceux qui ont essayé de « conquérir » l’Empire romain devraient savoir maintenant que la bataille finale aura lieu en Gaule. Mais en Gaule, Rome était complètement invincible… Ils auront Rome contre eux et ce n’est jamais une bonne nouvelle pour les enfants d’Hitler et de Moïse… Ce n’est pas une bonne nouvelle pour les nazis allemands et les barbares sionistes. LE PLAN DE DIEU touche à sa fin. Avec de l’argent « artificiel », des escroqueries, des calomnies et des mensonges, ils ont essayé de « pirater » et en fait de « s’emparer » de la Maison du Fils de Dieu, asservissant Ses « enfants ». Avec du sang humain infini, ils ont essayé de soumettre le christianisme à leur domination et de subjuguer ses peuples. Ils ont essayé de conquérir l’Empire romain dans sa forme définitive… Sous cette forme, où les TROIS ROMES coexistent… Ils ont essayé de conquérir la Troie antique… L’invincible Troie.
Des communistes nazis violents et athées allemands, ainsi que des sionistes jouant à Dieu, ont délibérément tué plus de cent millions de chrétiens pour mener à bien leur plan… Des meurtriers impénitents qui continuent de faire de même en Ukraine aujourd’hui. Mais tout cela a une fin. Jusqu’à présent, les chrétiens se faisaient tirer l’oreille et étaient poussés vers leurs « abattoirs » ; ceux qui les poussaient sous-estimaient le craintif Père des chrétiens qui pouvait les saisir par la gorge et les déchirer en mille morceaux. S’Il revient maintenant, Il les écrasera comme des vers de la boue… Ils ne s’imaginent pas à quel point ils pleureront… Ils pleureront autant que les textes sacrés décrivent que les « pécheurs » pleureront à la Fin du Monde. Jusqu’à présent, ils ont été libérés pour créer un « Trône » mondial avec des « matériaux » volés à Dieu, aspirant à l’exploiter eux-mêmes à travers les siècles… Maintenant, le moment approche où nous verrons à qui appartiennent ces « matériaux » et qui « s’assiéra » enfin sur ce « Trône ». Maintenant qu’ils ont enfin les « clés » de la Maison du Fils, qu’ils aillent en tant que nouveaux propriétaires ouvrir sa « porte » et voir Qui les attend derrière celle-ci…
…L’heure du deuil pour les assassins du peuple approche !!!
Panagiotis Traianou
Le grec est toute personne instruite, le Grec est la personne instruite Francais -Italien-Espagnol instruit
Le Grec est une vision du monde UN MODE DE VIE
C’est “I “ARISTOCRATIE” de la pensee.
Le monde que les gens voient aujour ‘hui est tenebres rendons notre monde beau Illuminat
I ‘hellenisme avec “I aristocratie de la pensee..
Hello
I would like to know more about Traianou
Liberte, unite fraternite